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ERIKA : LA JUGE D’INSTRUCTION TERMINE L’INFORMATION PENALE !

VIOL D’UNE CONVENTION DONT LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE EST LE GARANT !


La confédération maritime vient de recevoir l’avis à partie nous informant de la clôture de l’instruction pénale suite au détournement de fonds , de sommes gagées , d’escroquerie et d’abus de confiance de la part du FIPOL et de la STEAMSHIP MUTUAL .

Nous saisissons immédiatement tous les candidats à l’élection présidentielle afin de connaitre leur position sur le respect de la SIGNATURE DE LA FRANCE .

Nous sommes dans le cadre d’une convention internationale ratifiée par la FRANCE , le président de la république est le gardien de la signature des conventions et des traités . ( convention internationale de 1992 organisant les indemnisations suite aux pollutions par hydrocarbures )

Or la dite convention a été intégralement violée par les satellites des pétroliers que sont LE FIPOL et la STEAMSHIP MUTUAL .

Ces compagnies d’assurances pétrolières se sont comportées comme des juridictions à la place des tribunaux de commerce qui sont complices .

L’armateur propriétaire de l’ERIKA devait gager une somme de 13 MILLIONS d’euros entre les mains du juge commissaire afin de les répartir équitablement entre les victimes de la marée noire .

Or cette somme pourtant gagée à la caisse des dépôts et consignations , a été détournée , littéralement volée par le FIPOL et la STEAMSHIP MUTUAL , sans aucune réaction du juge commissaire ni des tribunaux de commerce complices ...

Ces organismes d’assurance se sont comportés comme des juridictions , violant ainsi la convention ratifiée par la FRANCE ...

C’est ainsi que plus de DOUZE ANNÉES plus tard , ni les victimes ni les collectivités locales ne sont encore indemnisées ...

Le PRÉSIDENT de la RÉPUBLIQUE va t-il réagir ? va t-il laisser faire ?
sachant que le procureur de la république doit prendre maintenant des réquisitions ...

Le PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE va t-il intervenir afin de faire respecter la signature de la FRANCE dont il est le garant ?

Somme nous tous égaux devant les lois ? Y a t-il une dérogation pour les puissances financières ?

Cette question est maintenant posée à tous les candidats à cette élection présidentielle .

Pour le syndicat : Alain Malardé