ERIKA TOUJOURS ET RETOUR DANS L’ACTUALITE INTERNET
INTERNET DE LA CONFEDERATION MARITIME , PARALYSEE PENDANT CINQ MOIS du 12 MAI au 12 novembre 2008 ..... ?
Il est toujours gênant de dénoncer les malversations judiciaires et pétrolières , surtout quand elles sont directement associées ...
Comment réduire le syndicat professionnel au silence ?
Ce n’est qu’au prix d’un combat de cinq mois contre NEUF -SFR que nous avons réussi à faire ré-installer notre ligne par un concurrent .
Cette paranthèse silencieuse n’a pas empêcher la confédération maritime de poursuivre le combat contre les pétroliers et les tribunaux de commerce complices . Avec la complaisance de la COUR D’APPEL de RENNES .
Une plainte pénale a été déposée contre le greffier du tribunal de commerce de ST BRIEUC pour non dénonciation de malversations au sein de son tribunal . Par courrier le quatrième juge commissaire Mr Charles JEHAN et son président Mr Jean Jacques LE MORDAN confirment bien qu’ils ne respecteront pas la CONVENTION INTERNATIONALE DE 1992 , ratifiée par la FRANCE , et qu’ils n’ont pas l’intention de répartir la somme fixée de 84 MILLIONS de francs entre les victimes de l’ERIKA ... Cette somme restant selon eux et avec leur accord , acquise aux pétroliers qui en disposeront comme ils voudront .... Elle est pas belle la vie !
En son temps une question avait été posée à l’assemblée nationale par Mr AYRAULT maire de NANTES et député , sur demande de la confédération maritime . Questionné , Mr Dominique BUSSEREAU ministre des affaires maritimes a mis plus d’un an à répondre à coté de la question ... Nous l’interrogeons à nouveau sans cesse et finalement Alain Malardé sera reçu par son conseiller spécial le 19 novembre prochain ... à PARIS .
Il est évident que je devrai revenir avec du concret !
Autre nouvelle : Les 30 concurrents du VENDEE GLOBE ont tous embarqué mon dernier livre " ERIKA LE POT DE TERRE CONTRE LES POTS DE VIN " une bonne lecture dans les mers du sud . A la vue de la corruption dans notre beau pays , voudront-ils tous rentrer au port ? A.M.