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Alain Malardé de nouveau au tribunal !

Faites le soigner il est fou me dit le procureur !


Hier j’étais donc convoqué devant le tribunal correctionnel de Rennes . Ceci à la suite d’une nouvelle plainte déposée contre moi par l’avocat d’affaires Christophe BIDAN de Rennes qui est l’un des trois protagonistes des détournements de fonds dans l’affaire des indemnisations des victimes de la marée noire de l’ERIKA . Les deux autres étant Jean Yves LE DRIAN et les époux JACQUEMIN de Lorient .
Tous les trois se sont concertés pour déposer contre moi des plaintes pour ’’ HARCÈLEMENT ’’ et non pour ’’ DIFFAMATION ’’ et ’’ DÉNONCIATION CALOMNIEUSE ’’ ce qui les obligeraient à s’expliquer sur les accusations que je porte .
Ils ne veulent surtout pas s’expliquer devant le tribunal sur les escroqueries et abus de confiance , alors ils m’attaquent pour harcèlement du fait que je leur réclame sans cesse les justes indemnisations des victimes .
Le tribunal était composée de trois magistrates très attentives qui m’ont laissé m’exprimer à la différence du juge de Lorient qui m’interrompait et m’accusait sans cesse pour finalement me condamner , mais là c’était joué d’avance ...A Lorient !
Avec mon avocat nous avons demandé la requalification du motif de harcèlement en dénonciation calomnieuse afin de mettre au jour les escroqueries , les magistrates ont été très attentives à cette demande .
Par contre le procureur auprès duquel j’ai fais cette même demande , est demeuré dans la défense du fameux trio de malfaiteurs en demandant contre moi , tenez vous bien : Une peine d’inéligibilité de trois ans ( il a la trouille que je sois élu ) un emprisonnement de trois mois ( avec sursis quand même ) , l’interdiction de m’approcher de son ami BIDAN , et le bouquet sur la cheminée ’’ de me faire soigner car je suis fou ’’ . Le procureur évidemment est aux ordres comme chacun le sait , mais à vouloir en faire un peu trop il n’est plus crédible . Délibéré au 15 mars .
Cependant , entretemps et suivant le jugement , nous étudions la possibilité de saisir le doyen des juges d’instruction afin d’ouvrir une véritable enquête , ce qui nous est toujours refusé par les procureurs . A suivre ... A.M.