L’ETAU SE RESERRE SUR LES TRIBUNAUX DE COMMERCE !

Aujourd’hui mardi 22 mai , Alain Malardé et Xavier Lambion comparaissaient devant le tribunal correctionnel de RENNES , suite à une plainte de Michel PECOUL président du tribunal de commerce de RENNES . PECOUL s’est lachement dégonflé et n’a pas osé se présenter devant le tribunal ...

PECOUL se plaint d’un outrage à magistrat , suite à la dénonciation par la CONFEDERATION MARITIME des malversations et escroqueries de son tribunal . PECOUL et son entier tribunal de commerce ont été récusés suite à la démission du juge commissaire Jacques DELAGE qui a refusé de cautionner les magouilles de PECOUL ...

Ce vendredi dernier , jour de la St YVES , le procureur de NICE , Mr DE MONGOLFIER a tenu un colloque à TREGUIER dans lequel il dit explicitement que les ’’JUGES DOIVENT RENDRE DES COMPTES ET NOTAMMENT CEUX QUI VIOLENT LA LOI ’’ ces propos sont directement adressés à PECOUL .

Il est encore à préciser que PECOUL était président du LION’S CLUB de RENNES , que Mtre BIDAN en charge du fonds de responsabilité de l’armateur de l’ERIKA , est le trésorier du LION’S CLUB et que pour être complet PECOUL a désigné Mr CHUBERRE également membre du LION’S CLUB pour remplacer le juge commissaire DELAGE démissionnaire ! En clair PECOUL a tenté de faire gérer les indemnisations des victimes de l’ERIKA par le LION’S CLUB dont il était le président .... Malin le PECOUL !!!

Alain Malardé publie cette semaine le tome 2 de son livre sur les malversations des pétroliers et des tribunaux de commerce de NANTES et de RENNES . La vérité doit être dite , c’est la mémoire de la BRETAGNE .

L’étau se reserre car tant le tribunal correctionnel de PARIS que celui de RENNES cet après midi , ont bien compris le mécanisme des indemnisations et le viol de la convention par les pétroliers associés aux tribunaux de commerce ...

Lundi matin Alain Malardé a passé sa matinée à la gendarmerie maritime de LORIENT suite à une lettre anonyme dénonçant les statuts du syndicat ; les corbeaux sont aux abois , ils en sont aux lettres anonymes
L’étau se reserre ... A.M.